Le toucher et le consentement

« C’est beaucoup plus facile pour le cerveau et pour la personne de toucher que d’être touchée. »

Dans cette vidéo, Nicole Poirier remet en question le fait de toucher systématiquement les personnes qu’on accompagne. Donner la main à une personne malade, adulte, l’infantilise et peut engendrer des situations délicates. Nicole Poirier, à travers son expérience à la Maison Carpe Diem au Québec, nous l’explique : « Si la personne en a besoin, elle va prendre mon bras. ». En effet, prendre la main de cette personne sans qu’elle n’en ait réellement besoin lui transmet notre insécurité.